Il y a un effet d’entraînement quand une entité économique (une entreprise, un secteur, une région, un État, etc) devient un moteur économique. Grâce à ses commandes en biens ou capitaux, la production des autres entités (en amont, c’est-à-dire avant ou en aval, c’est-à-dire après le processus de production) gagne en compétitivité ce qui n’aurait pas été le cas si l’entité économique moteur n’avait rien fait.
L'effet d’entraînement dépend du poids économique du secteur et des entreprises concernées.
Par exemple, le chemin de fer au 19ème siècle a joué le rôle de moteur à travers ses importants achats d’acier et de charbon (en amont) et la possibilité de transporter moins cher les marchandises et les hommes (en aval).
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